Pour faire rentrer pleinement la production automobile dans le XXIe siècle, les équipementiers automobiles internationaux et leurs fournisseurs devront trouver le moyen de tirer le meilleur parti de la vogue des voitures connectées. S’ils ne le font pas, les géants actuellement spécialisés dans les données personnelles et la technologie (p. ex. Google, Apple, etc.) s’empareront du marché de l’expérience automobile connectée, en retirant les profits et la fidélité client de la chaîne de valeur et en la réorientant à leur profit.
Alors que le monde est chaque jour plus connecté, les industriels du secteur automobile doivent relever plusieurs défis primordiaux. Certes, les consommateurs veulent des véhicules connectés, mais pas nécessairement payer pour des éléments et services qu’ils prennent maintenant pour acquis. Ils s’attendent à ce que leurs smartphones, leurs tablettes et les écrans sur leur tableau de bord fonctionnent de manière fluide dans leurs véhicules. Les appareils technologiques personnels disposant de toujours plus de fonctionnalités, pour une taille toujours plus petite, le design de l’habitacle doit intégrer ces nouvelles composantes interactives, de manière à la fois intuitive, harmonieuse et discrète.